Active is : Anticiper l’avenir

AllianzGI Perspectives 2021

2021 outlook: portfolios need broader reach as the coronavirus recovery slows
La diversification est le mot d'ordre à l’heure où la pandémie prolonge l’incertitude

Les investisseurs peuvent aborder l'avenir avec optimisme : un vaccin efficace contre le Covid-19 sera très certainement disponible en 2021. Pourtant, la trajectoire de la reprise économique reste floue. Il convient donc d'élargir la diversification des investissements, au-delà des régions, des secteurs et des stratégies qui ont récemment donné de bons résultats.

Quatre thèmes d’investissement à surveiller en 2021

La répression financière « bis » et l'endettement public massif pourraient faire grimper les rendements à long terme

Compte tenu du soutien affiché par les banques centrales face à la pandémie, les taux d'intérêt à court terme devraient rester ultra-bas dans un avenir proche. Il s'agit essentiellement d'une « redite » des politiques de répression financière (taux d'intérêt bas, restrictions des flux de capitaux et autres réglementations) que les banques centrales ont déployées après la crise financière pour aider les économies à se désendetter. Si l'intervention continue des banques centrales nous semble nécessaire, elle pourrait toutefois tirer l'inflation vers le haut et déclencher d'autres problèmes sur le moyen à long terme. Par ailleurs, l'offre importante d'emprunts souverains, conséquence directe des politiques budgétaires ultra-expansionnistes, continuera de déferler sur les marchés obligataires dans les trimestres à venir.

Quelles conséquences pour les investisseurs ?
  • Tous ces éléments laissent à penser que la courbe des rendements américains devrait se pentifier, autrement dit, l'écart de rendement entre les obligations à échéance longue et celles à échéance courte pourrait s'élargir (les prix et les rendements obligataires évoluent dans des directions opposées). Alors que la pentification de la courbe pourrait se manifester sous diverses formes, le scénario qui nous semble le plus plausible implique une hausse des taux longs et une stabilisation générale des taux courts.
  • Autre argument plaidant en faveur d'une pentification de la courbe, les grandes banques centrales ne devraient pas emboîter le pas à la Banque du Japon, qui a mis en œuvre des contrôles de la courbe des taux sur différentes échéances. Elles préféreront sans doute ne pas cibler uniquement la partie courte de la courbe, mais également les taux longs.
  • Les investisseurs pourraient s'intéresser aux obligations indexées sur l'inflation, notamment les TIPS américains et les gilts britanniques, qui devraient directement bénéficier de la hausse des anticipations d'inflation dans la mesure où ces titres sont conçus pour protéger les investisseurs contre le renchérissement des prix.
  • L'or pourrait également profiter de l'assouplissement monétaire. Des cours élevés sur le marché de l'or ont toujours été étroitement associés à des taux réels bas et en baisse, dans la mesure où le métal jaune est généralement plébiscité lorsque les investisseurs estiment que les autres actifs jugés « sûrs » ne constituent pas une meilleure opportunité.
Les actions pourraient profiter de l'actualité positive sur le coronavirus, mais équilibre et sélection seront primordiaux

En pleine pandémie et confinement, certaines régions et classes d'actifs ont relativement bien performé, notamment les grandes capitalisations technologiques US et les commerces en ligne. Les avancées positives sur le front de la lutte contre le coronavirus pourraient s'étendre au-delà des « gagnants de la pandémie » et profiter à un éventail plus large d'actions et de régions.

L'annonce d'essais prometteurs pour des vaccins pour la fin 2020 en est une. Toutefois, on ignore combien de temps il faudra avant que ces vaccins ne soient déployés et combien de personnes souhaiteront être vaccinées. D'ici là, de nouvelles vagues de contamination devraient resurgir dans de nombreuses régions. Dans l'attente du déploiement généralisé de vaccins et de traitements efficaces, les perspectives de croissance resteront donc incertaines et le secteur privé pourrait réfréner ses dépenses (y compris la consommation et les investissements privés).

Si les statistiques économiques cycliques fléchissent, les actions pourraient en pâtir, surtout si les marchés observent une déconnexion entre les prix des actifs et l'état sous-jacent de l'économie.

Quelles conséquences pour les investisseurs ?
  • Face aux nombreuses inconnues qui persistent, nous recommandons d'investir dans un portefeuille d'actions équilibré plutôt que de rechercher des signes directionnels en vue de trouver la ligne de conduite à adopter.
  • Par exemple, si l'on parvient effectivement à maîtriser la pandémie en 2021, les titres cycliques value (industrie et finance notamment) devraient surperformer. Mais si le Covid-19 reste une menace majeure, les gagnants de 2020 (notamment les valeurs technologiques) pourraient être les gagnants de 2021.
  • Les actions value (dont les valorisations tendent à être plus faibles) pourraient toujours bénéficier de perspectives favorables en 2021 par rapport aux valeurs de croissance (dont les valorisations et la croissance du chiffre d'affaires tendent à être plus élevées). Comme le montre le graphique 3, les titres value sont bien meilleur marché qu'ils ne l'ont jamais été. Dans le même temps, il est trop tôt pour anticiper la direction que pourrait emprunter ces actions : rien ne montre que l'écart entre les titres value et de croissance pourrait se combler.
  • De nombreux thèmes de croissance restent attrayants, particulièrement dans les hautes technologies telles que l'intelligence artificielle et la cybersécurité. Il s'agit de changements à long terme qui étaient déjà à l'œuvre avant le coronavirus. Considéronsles comme des courants profonds que les investisseurs pourraient suivre tout en naviguant sur les eaux plus troubles à la surface.

Graphique 3 : Le style « value » affiche une forte décote par rapport au style « croissance »

Valorisation relative des indices MSCI World Value et Growth (1985-2020)

Graphique: Valorisation relative des indices MSCI World Value et Growth (1985-2020)

Source : Refinitiv Datastream, Allianz Global Investors. Données d'octobre 2020.

Le dollar semble plus enclin à se déprécier, ce qui pourrait profiter aux marchés non américains

Alors que le rebond de l'économie mondiale gagnait en puissance, le dollar s'est déprécié face aux autres devises (cf. graphique 4). Si certains économistes prédisent un retournement de tendance, essentiellement parce que l'incertitude suscitée par la pandémie profite aux valeurs refuges telles que le dollar, plusieurs raisons nous incitent à pencher en faveur d’une baisse du billet vert :

  • Le dollar reste historiquement surévalué.
  • Les États-Unis suivent une politique monétaire beaucoup plus accommodante que les autres pays (la Réserve fédérale ciblant désormais un taux d'inflation moyen). Or, une politique monétaire accommodante tend à déprécier la monnaie nationale.
  • Le dollar ne montre aucun signe de tension de financement, contrairement à ce qu'il s'était passé début 2020 quand entreprises et gouvernements se sont rués sur la devise.
Quelles conséquences pour les investisseurs ?
  • Un dollar plus faible pourrait profiter aux grandes entreprises américaines qui dégagent une grande partie de leurs revenus à l'étranger dans la mesure où les autres pays bénéficieraient d'un pouvoir d'achat supplémentaire pour acheter des produits américains.
  • Plus vraisemblablement, un dollar plus faible est synonyme d'attentes de perspectives plus favorables pour les économies non américaines, ce qui pourrait être un bon signe pour les marchés non américains, notamment européens, qui sont sous-évalués par rapport aux États-Unis.
  • Les actions des marchés émergents dont les balances courantes sont excédentaires (autrement dit, qui sont exportateurs nets) ont également tendance à surperformer leurs homologues des marchés développés lorsque le dollar est faible.
  • Historiquement, lorsque le billet vert est bon marché, les spreads de crédit des marchés émergents (leur rendement excédentaire par rapport à des obligations américaines similaires) diminuent à mesure que les prix des obligations augmentent. Cette tendance pourrait être de bon augure pour la dette émergente l'année prochaine. Nous pensons que les investisseurs devraient se tourner vers les obligations d'entreprises asiatiques de bonne qualité.
  • Un dollar plus faible pourrait également doper l'inflation aux États-Unis avec à la clé, une pentification de la courbe de taux, et rendre les TIPS américains plus attrayants.

Graphique 4 : Baisse du dollar en 2020 sur fond de reprise économique mondiale

Indice du dollar américain pondéré par les échanges (2015-2020)

Graphique: Indice du dollar américain pondéré par les échanges (2015-2020)

Source : Bloomberg, Allianz Global Investors. Données d'octobre 2020.

L'investissement durable procure aux investisseurs la vision à long terme dont ils ont besoin

La pandémie de coronavirus a mis en évidence la vulnérabilité de l'économie mondiale et des systèmes dont nous dépendons tous. Les investisseurs devront trouver des manières d'être sélectifs au niveau des secteurs et des entreprises individuelles, plutôt que de se fier à la performance générale des marchés. Les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) peuvent s’avérer utiles pour identifier les principaux risques globaux et tester la résilience des entreprises et des systèmes.

La pandémie de Covid-19 a également contraint les investisseurs à remettre les compteurs à zéro et à revoir leurs priorités alors que l'impact social de l'activité économique fait l’objet de toutes les attentions. De plus en plus d'investisseurs souhaiteront déployer leurs capitaux de manière durable et rechercheront des idées créatives pour contribuer à changer le quotidien sur des sujets tels que le changement climatique.

Le cadre des 17 Objectifs de développement durable des Nations unies (ODD) qui incite à renforcer la collaboration entre les pays, les organisations, les entreprises et les individus sur les sujets d'importance cruciale pour le développement, pourrait en être une. Un rapport des Nations unies publié en 2017 évalue le déficit de financement des ODD dans les pays en développement à 2 500 milliards de dollars par an. Il est donc crucial de développer des produits d'investissement innovants et évolutifs pour les pays et secteurs en manque de financement. Ceux-ci peuvent prendre la forme de partenariats publics-privés, avec des responsabilités différentes pour les parties prenantes partageant les mêmes objectifs. Le financement du développement, qui utilise le capital et le savoir-faire de sources publiques et philanthropiques pour mobiliser les investissements privés dans le développement durable, peut jouer un rôle clé.

Ainsi, compte tenu de l'ampleur des dépenses nécessaires pour ramener l'économie sur sa trajectoire de croissance pré-Covid, certains gouvernements y voient une opportunité de moderniser les infrastructures existantes, notamment les réseaux d'électricité. Ceci peut être fait en échafaudant les projets sociaux, environnementaux et propres en énergie qui soutiendront le bien-être et la prospérité des générations futures.

Mais l'investissement durable ne se limite pas à faire le bien, il aide également les investisseurs à dégager des performances solides. Comme le montre le graphique 5, environ deux tiers des gérants actifs ESG figurant dans la base de données eVestment (qui suit les gérants d'actifs institutionnels) ont battu l'indice de référence des actions internationales au cours des trois dernières années, y compris en 2020, une année extrêmement volatile sur les marchés boursiers.

Graphique 5 : La majorité des gérants actifs ESG ont battu l'indice de référence des actions internationales au cours des 3 dernières années

Pourcentage des gérants actifs figurant dans la base de données eVestment Global Equity ESG ayant surperformé l'indice MSCI All Country World (jusqu'au T3 2020)

Graphique: Pourcentage des gérants actifs figurant dans la base de données eVestment Global Equity ESG ayant
surperformé l'indice MSCI All Country World (jusqu'au T3 2020)

Source : eVestment. Données de septembre 2020. Les barres représentent le pourcentage de gérants actifs dans la base de données eVestment Global ESG ayant surperformé l'indice MSCI ACWI durant chaque période.

Quelles conséquences pour les investisseurs ?

Il existe de nombreuses façons de faire travailler son argent de manière durable, particulièrement au moment où le monde se remet de la pandémie de Covid-19.

  • Examiner les facteurs ESG. La gouvernance d’entreprise sera essentielle, alors que le secteur privé traverse une profonde récession. Les entreprises bien gérées, dotées de structures de gouvernance solides, pourraient être mieux placées que leurs rivales.
  • Exploiter les marchés privés. Les investisseurs institutionnels peuvent se tourner vers les marchés privés pour chercher de l'alpha financier tout en atteignant des objectifs sociétaux, par exemple, en investissant dans la revitalisation urbaine, les infrastructures numériques optimisées, les logements sociaux ou les services de formation et de santé améliorés.
  • Chercher des investissements en lien avec des thèmes ODD. Prenons l'exemple de la sécurité alimentaire, qui a retenu l'attention lorsque la pandémie a perturbé la chaîne d'approvisionnement alimentaire et qu'un nombre croissant de personnes se sont retrouvées dans le besoin. Les entreprises font des progrès prometteurs dans la manière dont les produits alimentaires sont cultivés, transformés et distribués, et elles ont urgemment besoin de financement.

AllianzGI Perspectives 2021

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Perspectives 2021 par région

Comme la BCE, la Banque d'Angleterre envisage de poursuivre son programme d'achats obligataires et de maintenir les taux d'intérêt à un bas niveau, voire de les emmener en territoire négatif. La pandémie et les négociations commerciales post-Brexit avec l'UE mettent en difficulté l'économie britannique. En conséquence, une forte incertitude domine quant à la trajectoire et au rythme de la reprise qui a démarré en mai 2020. Le PIB britannique devrait reculer de 10 à 12% en 2020, mais nous pensons que le pays parviendra à endiguer la propagation du virus et à négocier un accord commercial avec l'UE, ce qui devrait lui permettre de renouer avec la croissance en 2021. Parmi les points positifs :

  • Les secteurs durement touchés tels que l'hôtellerie, la restauration, les transports, les loisirs et la culture partant de très bas, ils devraient donc enregistrer des taux de croissance annuels élevés.
  • Soutenu par l'accélération de l'e-commerce, le secteur de la logistique devrait connaître une solide croissance.
  • Le secteur de la construction profitera des mesures budgétaires visant à doper les investissements en infrastructure.

Dans l'ensemble, nous pensons que l'économie britannique renouera avec ses niveaux préconfinement d'ici la fin 2021, mais nos prévisions pourraient être revues significativement à la baisse selon la durée et la gravité de la pandémie. Nous anticipons une inflation de 1,6% en 2021, contre 1% en 2020, compte tenu de la normalisation des prix de l'énergie, de la dissipation des effets de la baisse provisoire de la TVA et de la reprise de la croissance des salaires. Le déficit budgétaire devrait chuter à près de 7% en 2021, en net recul par rapport aux niveaux de 2020, mais le gouvernement pourrait lancer de nouvelles mesures de relance budgétaire pour stimuler l'économie. Malgré tout, une fois la reprise économique installée, les dépenses budgétaires devront être réfrénées sur le long terme pour faire baisser la dette publique. La Banque d'Angleterre devrait maintenir le cap de sa politique monétaire accommodante, avec des taux d'intérêt bas, voire négatifs et des achats d'actifs, même s'il est possible qu'elle assouplisse encore sa politique en fonction de l'évolution de l'économie.

Face aux défis auxquels le Royaume-Uni doit faire face, nous attendons une volatilité accrue à court terme. D'où l'importance d'adopter une approche d'investissement active au niveau des actions et des obligations britanniques qui sont fortement exposées aux développements internationaux. Toutefois, les signes encourageants sur le front de la lutte contre le coronavirus et d'un accord de libre-échange avec l'UE (au lieu d'un scénario sans accord) pourraient faire émerger des opportunités d'achat.

La reprise de l'économie chinoise devrait se poursuivre à un rythme élevé après une chute spectaculaire occasionnée début 2020 par la pandémie que les autorités ont réussi à maîtriser rapidement. La croissance annualisée du PIB pourrait être impressionnante début 2021, Internal notamment parce que la période correspondante en 2020 a été catastrophique (cf. graphique 8), avant de ralentir légèrement le reste de l'année.

Le secteur des services semble voué à poursuivre son ascension, pourvu que Pékin puisse continuer à lutter efficacement contre d'éventuelles résurgences du virus. Le secteur manufacturier devrait également continuer de croître, soutenu par les projets d'investissement publics et la reprise progressive de la demande internationale à mesure que la crise sanitaire s'atténue. La Chine continue de se positionner sur le long terme en développant ses propres industries high-tech, notamment dans la robotique, l'aviation et d'autres domaines de fabrication avancée.

Selon nous, cet environnement incitera les autorités chinoises à poursuivre la normalisation de la relance budgétaire et monétaire mise en place en 2020. Autrement dit, le gouvernement pourrait commencer à réduire ses dépenses et la Banque Populaire de Chine (PBoC) ne devrait pas prendre de mesures majeures (baisse des taux) en 2021. Au contraire, elle pourrait même initier un resserrement monétaire vers la fin de l'année si la croissance revient et que l'inflation sous-jacente remonte.

Nous sommes relativement prudents sur les perspectives d'investissement en Chine à court terme étant donné que l'amélioration des conditions macroéconomiques annonce la normalisation des politiques monétaire et budgétaire. Mais sur le long terme, la situation économique de la Chine est attrayante. Nous pensons que les investisseurs devraient continuer de considérer la Chine comme une classe d'actifs à part entière, la question n'étant pas de savoir s'il faut investir en Chine, mais dans quelle proportion.

Graphique 8 : Le PIB chinois a fortement rebondi en 2020, mais moins que prévu

Croissance du PIB en rythme trimestriel et annuel (réelle jusqu'en septembre 2020, estimée jusqu'en décembre 2020)

Graphique: Croissance du PIB en rythme trimestriel et annuel (réelle jusqu'en septembre 2020, estimée
jusqu'en décembre 2020)

Source : Bloomberg, CEIC, Allianz Global Investors. Données de septembre 2020.

Le PIB réel du Japon devrait se contracter de 5,5% en 2020 avant de repartir à la hausse en 2021 (+2,3%). Malgré ce rebond, les perspectives économiques restent incertaines. Les ménages devraient continuer d'épargner et les exportations sont étroitement corrélées aux dépenses d'investissement internationales qui devraient diminuer compte tenu des incertitudes liées au coronavirus.

Le Premier ministre Yoshihide Suga devrait poursuivre les Abenomics, la politique économique mise en place par l'ancien Premier ministre Shinzo Abe, notamment la relance budgétaire combinée à un assouplissement monétaire à grande échelle. M. Suga a également souligné l'importance d'entretenir des liens étroits avec la Banque du Japon (BoJ) et d'encourager les nouvelles mesures d'assouplissement monétaire jugées nécessaires pour soutenir l'emploi et maintenir les entreprises à flot. Mais pour l'heure, nous estimons que la BoJ ne devrait pas toucher à ses taux directeurs déjà négatifs.

  • Le MSCI World est un indice non géré considéré comme représentatif des actions des pays développés. Le MSCI All Country World Index (ACWI) est un indice non géré visant à refléter la performance des grandes et moyennes capitalisations dans 23 pays développés et 24 marchés émergents. Le MSCI Europe est un indice non géré qui mesure la performance du marché actions des pays développés européens. Le MSCI Japan est un indice non géré qui mesure la performance du marché actions japonais. L'indice composite Standard & Poor’s 500 (S&P 500) est un indice non géré, généralement représentatif du marché des actions américaines. Les investisseurs ne peuvent pas investir directement dans un indice.

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